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Ma vocation de correctrice

Mon parcours

De chemin de traverse en voie rapide, maritime ou aérienne, le parcours qui m’a conduite au métier de correctrice aura été sinueux. Il m’a menée du monde de l’artisanat d’art – modelage –, à celui du commerce – boutique indépendante –, puis à l’industrie.

Pendant longtemps, j’ai été assistante de direction trilingue dans une PME internationale. Rédiger, relire et corriger des documents marketing et commerciaux, papier et numérique, en assurer le suivi et la logistique, faisaient partie de mes attributions.

Puis un jour, la petite ampoule de l’évidence s’est allumée : ce que j’aimais faire, par-dessus tout, c’était lire et relire les textes pour en extirper toute trace de ce qui pouvait les dénaturer. Seul devait rester le message, sans parasites d’aucune sorte pour l’entacher, que ce soit sur un support de communication ou dans le rapport ou mémoire d’un étudiant formé en interne.

J’avais trouvé ma nouvelle vocation : aider les auteurs, écrivains de l’instant ou au long cours, à libérer leurs écrits de toutes ces petites imperfections qui déçoivent le lecteur.

Puce en forme de coquille

Richesse culturelle

Puce en forme de coquille

Écoute constructive

Puce en forme de coquille

Ouverture d’esprit

Ma formation

Voltaire, lui-même, admettait qu’un auteur n’est pas apte à corriger ses propres textes, car il lit ce qu’il a voulu exprimer, et non ce qui est écrit.

Consciente qu’il ne suffit pas d’être bonne, ni même très bonne en orthographe pour prétendre le faire à sa place, j’ai tenu à valider mes connaissances en préparant le Certificat Voltaire, puis, avec MD Mots, j’ai suivi une formation au métier de correcteur-relecteur-réviseur, doublée d’un passage de la Certification Le Robert.

Mes compétences en tant que correctrice sont validées et les
971 points/1000 obtenus à l’examen Voltaire, tout comme les
958 points/1000 à celui du Robert me situent au niveau expert pour la maîtrise des difficultés de la langue française.

Niveau expert en orthographe reconnu par les certificats Voltaire et Le Robert

Être correctrice n’est pas qu’une question de maîtrise de l’orthographe, de la grammaire ou de la typographie. C’est aussi l’état d’esprit qui, guidé par la curiosité, vous incite à débusquer le détail qui dénature un texte, pour ne laisser à lire que la pensée de l’auteur.

Puce coquille qui introduit une qualité de la relectrice et correctrice Cléa, écoquilleuse

Compétences validées

Puce coquille qui introduit une qualité de la relectrice et correctrice Cléa, écoquilleuse

Solide expérience

Puce coquille qui introduit une qualité de la relectrice et correctrice Cléa, écoquilleuse

Professionnalisme

Larousse, Le Robert et Bescherelle sur un plateau de Scrabble

Mes outils

Pour dissiper tout doute, si minime soit-il :

  • Anne ABEILLÉ et Danièle GODARD, La Grande Grammaire du français, Actes Sud, 2021 ;
  • Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, édition 2002 ;
  • Jacques DRILLON, Le Traité de la ponctuation française, Gallimard, 1991 ;
  • Adeline LESOT, Bescherelle, L’essentiel, Hatier, 2018 ;
  • Julien SOULIÉ, La Bible du Certificat Voltaire, Les éditions de l’Opportun, 2019 ;

Sans oublier le site Question orthographe du Projet Voltaire, véritable mine d’échanges sur le bien-fondé du choix d’un mot ou d’un accord.

Arrivée à ce stade du site, je dois avouer que corriger est pour moi source de plaisir ☺️. Traquer « le petit détail qui cloche » a quelque chose du jeu, mais ne croyez pas que je le fasse à la légère ; j’y mets au contraire une concentration zélée à l’extrême. C’est la même délectation que je ressens à relire une traduction ou à traduire un document espagnol.